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  Ex blog vazimonga devenu carnet de notes

Un temps pour lire

29 Février 2012, 09:23am

Publié par béber

 

Un pavé de 700 pages à balancer dans les  préjugés pro ou anti-américains.


Jeremy Rifkin propose une troisième révolution industrielle .

La graine de cette idée vient des US mais  a été semée en Europe .

Le concept est génial , qu'en fairont les hommes?

 

Une révolution de cette ampleur  ne saurait être que technologique , c'est aussi une révolution morale .

Elle passe par une autre façon de penser le pouvoir , voir de penser tout court.

 

Développer  le réflexe "durable " , c'est penser  "global" , c'est penser que l'intérêt particulier passe par l'intérêt global . 


 

 

 

 

La-troisieme-revolution-industrielle-de-Jeremy-Rifkins.jpg

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Enquête économique ...

27 Février 2012, 19:59pm

Publié par béber

beru.jpg

 

Un article à méditer , avec des chiffres et des graphiques .

 

A noter un bel exemple de BUG la pensée chez un être manifestement équipé pour un travail intellectuel. Ou comment  la conviction de ce que l'on veut démontrer peut abuser le raisonnement( en l'occurence la supposée "impuissance politique") .


A la lecture de ce graphique , l'auteur du blog cité déduit :

"La corrélation est quasi parfaite, à tel point qu’on peut simplement prédire le déficit comme égal au “taux de croissance – 5 %

 

Cette prévision basée sur ce graphique est  totalement fausse , car historiquement ,  la courbe du déficit passe par dessus ou par dessous la courbe de la croissance .

 

 

 

05-deficit-et-croissance

 

Au fond , s'agit il vraiement d'impuissance ?

 

Chaque gouvernement met en place une politique dont les effets sur la croissance sont essentiellement à  moyen et long terme .Sur le début d'un mandat présidentiel , le nouvel élu hérite des mesures qu'a prise le précédent . A ceci , il faut ajouter la durée nécessaire avant que de nouvelles mesures gouvernementales donnent des fruits. 

A étudier pour que ce graphique est un sens :

- la nature du déficit

- la nature de la croissance .

 

D'une part , on a un poids de la dette en  augmentation constante , de l'autre des recettes qui sont probablement pour la plupart en % du PIB  , de l'autre un déficit qui se calcule total des recettes - total des dépenses  ( les gros postes étant : charge de l'état + charges de la dette ) .

 

@ suivre ....

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Premiers pétages de plomb

25 Février 2012, 19:55pm

Publié par béber

Guaino et son moment de folie en direct ,  signe de quoi ?

D'un homme qui sent le pouvoir lui échapper ...

 

Les hommes qui pensent qu'il n'y a ni bien ni mal laisse leurs consciences érrer

d'une justification à l'autre . Rien n'est simple , certes, mais le bien est bien et le mal est mal .

En attendant , la souffrance des étrangers expulsés

est bien réelle .

 

 

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Archives du futur, dossier 22558541475145214521

24 Février 2012, 18:59pm

Publié par béber

 

 

 

 

 

avare

 

  Extrait d' "Economie par les nuls' aux éditions de la crise " ( réédition mars2034)

 

 

 "2012, notre culture économique a perdue le sens des valeurs humaines, le respect de l'être humain et de ses besoins minimums.

Il fut un temps où une forme de  capitalisme (digne d'intérêt) respectait certaines règles d'or,  qui furent d'ailleurs  source de prospérité pour tous.


Aujourd'hui , on se fout de savoir si un salaire permet de vivre décemment, si un prix de loyer demandé n'est pas trop élevé , si les besoins vitaux sont accessibles . C'est une forme de crime , qui n'étant pas reconnu comme tel , se banalise .

 

Nous en paierons tous le prix si un sursaut de conscience n'atteint pas toutes les couches de la société, du politique qui laisse faire , au priviligié qui profite, en passant par le chef d'entreprise soumis au système  .

"Gagner plus" ,  "plus".. mais  pour en faire quoi ?

Ce monde où la misère augmente est un booster de violence .

Plus d'argent dans un monde où il devient de plus en plus dangereux de posséder ... quel intérêt?

 

Dans un monde idéal , les échanges commerciaux sont parfaitement réglés grâce à l'argent censé faciliter un système qui permet de pourvoir aux  besoins matériels de l'homme.

Exemple classique : A doit à B , qui doit à C , qui doit  à E , qui paie A avec le même billet . Ces échanges auront nécessité la valeur d'un seul billet  qui aura servi x fois , et non pas nécessité la valeur de 5 billets. Ces échanges auront été rapides en nous évitant les négociations du troc.

 

Mais comme le système économique est pensé par des gens dont le métier est de vendre de l'argent , tout ce qui brise la fluidité de l'argent est entretenu et non pas combattu , car celà profite aux vendeurs d'argent .


Pour exemple, pas de rémunération conséquente oblige au crédit .

Trop de tésorisation  , trop de spéculation , et la planche à billet devient obligatoire ne serait ce que ...pour que le système des échanges commerciaux perdure ...

Dans ce sytème , à terme , des trés riches ammassent  de l'argent qui vaut de moins en moins , et toute politique de préservation de la valeur de l'argent finit par grippé le système .

Ce qui fait que ce système perdure, c'est que l'homme d'aujourd'hui ne pense qu'au court terme , et qu'à son intérêt personnel .

Quoiqu'il en soit , que nous changions ou pas , le système s'écroulera parce qu'on arrive en bout de cycle .

 

 

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A méditer

22 Février 2012, 10:37am

Publié par béber

 

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Poursuite de la quête du grâal économique

22 Février 2012, 09:30am

Publié par béber

La réponse de Gave ...

 

 

 

Un commentaire en  "attente de modération " en dit souvent plus long que des années de lecture d'un blog .

Intéressant de savoir ce qu'un libéral typique ne semble pas vouloir pas entendre .

Ceci dit, mon message ayant finalement été publié , j'en déduis que le libéral demeure   démocrate à priori ( vu les dérives totalitaires des usa, on peut pourtant raisonnablement  en douter) .

 

Ceci dit, la question de fond demeure :" comment améliorer l'éfficacité de l 'état?" .

Le libéral est culturellement  attaché à la monnétisation de tout service , il ne croit qu'au dieu PIB et à la déesse profit .La source de cet attachement est probablement à rechercher dans un anti-communisme ou anti-socialisme primaire .Les dangers d'une conviction née par opposition , c'est de jeter le bébé parce que l'eau du bain est sale .


A croire qu'ils ont  oublié la gratuité de la tendresse de leur mère .

Jésus n'était pas  un libéral comme le prétend Gave ,  le spéculateur .

Cet homme croit comprendre les marchés : il va être surpris !

Jouer de la concurrence que se font les hommes entre eux, c'est se faire l'ami du diable .

Le problème étant que le diable n'a pas d'ami ....

 


 

"béber dit :

Mr Gave , il y a longtemps que les français n’ont plus l’impression de s’enrichir quand on leur annonce une croissance du PNB .
Votre raisonnement démarre déjà sur une petite erreur d’appréciation .Les chiffres censés mesurer l’économie sont complètement déconnectés de la réalité économique de la plupart.
Mais il y a plus interpellant dans votre raisonnement .

Dans un pays où les emplois industriels n’auraient pas chuté comme en France , la part de l’état ne serait pas si importante.
Ce n’est pas donc pas le poids de l’état qui doit interroger en priorité (état qui a récemment pris à son compte la dette bancaire, sauvant ainsi le système) mais la désindustrialisation, ou plus largement l’augmentation irrésistible du chômage .

La focalisation ( ici sur “l’état responsable de tous les maux” ) est un excellent exemple de bug d’ intelligence . En posant comme évidence incontournable ce que l’on veut démontrer , le raisonnement devient aveugle aux faits .

Imaginons un pays France où la tendance à la désindustrialisation se poursuivrait , et où l’état perdrait toujours plus de son influence sociale pour cause d’”économie” .Oseriez vous prétendre que les choses iraient mieux?

La pensée libérale ne tient pas compte de deux données essentielles :
- la cohésion sociale
- la nécessité écologique .

Par contre, vous seriez crédible si vous remettiez en cause, non point l’Etat mais son efficacité .

Pierre LAGIER dit :

@béber,
C’est vous qui n’êtes pas crédible et ne comprenez pas grand chose à ce qui se passe.
Les effectifs pléthoriques de l’Etat ne sont pas le résultat de la désindustrialisation de la France mais la CAUSE.
Un exemple typique. En 1981, à l’arrivée de François Mitterrand au pouvoir, la France avait beaucoup moins de fonctionnaires qu’aujourd’hui en pourcentage de la population active totale. De façon délibérée et parfaitement artificielle, F. Mitterrand a fait embaucher brutalement des dizaines de milliers de fonctionnaires inutiles pour tenir ses « promesses » idéologiques tordues.
Simultanément et pour d’autres raisons idéologiques, de 1981 à 1983 il a décapité l’ensemble de l’industrie française en plaçant partout où il le pouvait des équipes de direction socialistes, à sa botte. Je le sais de 1ière main, mon père étant un des anciens dirigeants de cette sidérurgie. Résultat: la concurrence étrangère, en particulier allemande, a profité de cette vacance providentielle de gouvernance industrielle française, à la tête de pans entiers de notre industrie, pour piquer tous les marchés. Ils ne nous les ont jamais rendus. Mitterrand et son incompétence économique crasse, est une des causes flagrantes de la ruine française.
Vous partez aussi d’un postulat faux selon lequel le poids relatif du secteur étatique non concurrentiel devient automatiquement excessif quand le secteur privé concurrentiel se rétrécit.
A part les forces réactionnaires, ringardes et rétrogrades syndicales, dignes d’autres siècles, sans attache avec la réalité de 2012, RIEN n’empêche de rétrécir à volonté le poids du secteur non concurrentiel pour le maintenir en adéquation constante avec les moyens financiers de la nation d’une part et le besoin d’administrer et d’encadrer l’ensemble des activités nationales, d’autre part.
Rien n’empêche de virer MASSIVEMENT les fonctionnaires inutiles, qui seront moins nuisibles en restant chez eux avec la même paie, qu’à gêner ceux qui travaillent vraiment à des tâches authentiquement génératrices de valeur ajoutée objective. Même si, comme je le crois, un fonctionnaire français coûte en moyenne 3,5 M Euros tout au long de sa carrière, il serait actuellement plus avantageux pour le pays de mettre définitivement à pied, la moitié du fonctionnariat français, en CONTINUANT à les payer à ne RIEN FAIRE jusqu’à leur mort, qu’à les garder en service actif.
Il devrait aussi, en temps de crise, y avoir une simplification automatique des réglementations contraignantes, « belles » en apparence, mais vénéneuses en réalité, car mortellement trop coûteuses pour un pays en voie de tiers-mondisation comme la France : code du travail, déontologie judiciaire à rallonge, principes de précaution ridicules dans d’innombrables domaines, etc.
Enfin, c’est EXCLUSIVEMENT la ponction financière excessive de l’Etat, qui force les entreprises viables (mais en voie de ne plus l’être) à se délocaliser. La qualité de vie française, les habitudes, les tracas liés à une délocalisation, peuvent justifier de rester en métropole malgré cette ponction, mais jusqu’à un certain point seulement. En quantité et qualité, la nature des délocalisations observées est l’exact résultat expérimental du poids excessif de l’Etat, tous calculs faits, portant sur le tangible et l’intangible.
L’Etat a bien été obligé de sauver (provisoirement seulement) les banques, puisqu’il était le seul responsable de leur faillite, par le simple fait que depuis 35 ans, il les enserre dans un lacis d’obligations dont le résultat net est qu’elles sont obligées, de gré ou de force, de bouffer massivement le papier étatique (obligations, emprunts, bons d’Etat), lequel n’a de fait qu’une valeur arbitraire pouvant à tout instant être radicalement remise en question (comme en Grèce). Les banques et l’Etat sont comme 2 soulards éclopés, se soutenant l’un l’autre en essayant de rentrer chez eux avant le couvre-feu légal (heure du remboursement aux prêteurs en dernier ressort).
Voyez comment font les Suisses, et ils ne sont pas les seuls, pour se débarrasser du poids excessif de l’Etat :
http://www.lexpress.fr/informations/suisse-la-fin-des-fonctionnaires_632582.html

  • El oso dit :

    Comment font les Suisses?
    Non, comment ont fait les Suisses. Cet article date de février 1999 et l’application de cette révolution remonte à 2001…
    La Suisse s’est inspirée de la réforme libérale néo-zélandaise du début des années 80. peut-être que nous commencerons à nous inspirer de l’exemple suisse vers 2022…

  • béber dit :
    Votre commentaire est en attente de modération

    @ Pierre LAGIER

    La Suisse est un exemple intéressant . Certains états protègent leurs fonctionnaires dans le même esprit que d’autres protègent leur agriculture … ( vous comprendrez si vous connaissez vraiment ce pays).Déterminer sérieusement les causes de la désindustrialisation permettrait de résoudre ce problème .
    La preuve que votre raisonnement ne tient pas , c’est que vous auriez beau licencier tous les fonctionnaires, cela ne relancerait pas l’industrialisation française .Pourquoi ?

  • Parce que le jeu de la concurrence veut que le vainqueur dans un marché mondialisé soit , à terme , celui qui peut s’offrir les coûts minimums pour une qualité pratiquement identique.
    On ne peut pas lutter contre des pays qui ne paient pas dignement leurs employés , mais on peut leur imposer de créer un quota d’emploi dans le pays où ils vendent leurs marchandises. Autre moyen possible, la relocalisation obligatoire pour lequel la Suisse est un très bon exemple.
    Extrait :
    “pour obtenir le label «Swiss Made», ces entreprises doivent réaliser en Suisse au moins 80% des coûts de fabrication pour les montres mécaniques.”
    source http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/02/11/04016-20110211ARTFIG00713-suisse-l-horlogerie-de-luxe-resiste-grace-a-l-asie.php

    PS : je comprend la déchirure de voir des pans entiers de l’industrie française sombrer .
    Ce sont des catastrophes humaines tout autant qu’économiques.
    Je ne parierai que ces “écroulements ” n’est pas été le fait d’échanges commerciaux à très hauts niveaux : pour exemple le scénario ” achète mes armes , mon nucléaire, mon tgv et je te laisse me dévorer ma sidérurgie” ne me parait pas impossible . Toutes les industries françaises ne sont pas écroulées.

    D’autre part, je vous laisse méditer l’exemple argentin , un autre pays fort intéressant .

    EXTRAIT “La première chose qu’on a faite nous, c’est de rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du capitalisme! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment plus, ce qui obère une relance par la croissance.”
    source :
    http://www.liberation.fr/economie/01012390907-nous-avons-sauve-les-gens-plutot-que-les-banques?google_editors_picks=true

 

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A ne pas manquer

20 Février 2012, 21:39pm

Publié par béber

La mondialisation telle qu'elle est vécue actuellement ,  a amplifiée la concurrence entre les hommes .

 

Demain , un documentaire probablement passionnant ,  sur arte 

 

 

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Méditation sur l'évolution des mentalités

20 Février 2012, 18:54pm

Publié par béber

Pour se débarasser des ses préjugés , pour comprendre les autres cultures sans se focaliser sur la sienne ,

il faut apprendre à .... lâcher prise .

 

 

 

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Idées pour moins de chômage !

20 Février 2012, 18:09pm

Publié par béber

 

 

einstein.jpg

 

 

 

La désindustrialisation française est un vrai problème .

Les libéraux disent " c'est la faute de l'état'  . Le problème , c'est qu'avec eux , tout est la faute de l'état ...

 

On  sait pourtant tous désormais que les dirigeants de pays , quand ils se rencontrent , oeuvrent  en bons  représentants de commerce pour telle ou telle industrie .Après discussion avec un vrai libéral ( de chez vrai de chez vrai) , je me demande si , dans le temps, Mitterrand n'avait pas tenté un coup de jarnac sur la sidérurgie , pour nuire aux ancêtres de  l'IUMM ?


 

Bref, déterminer sérieusement les causes de la désindustrialisation permettrait de résoudre ce problème .
  Le jeu de la concurrence veut que le vainqueur dans un marché mondialisé soit , à terme , celui qui peut s’offrir les coûts minimums pour une qualité pratiquement identique.
On ne peut pas lutter contre des pays qui ne paient pas dignement leurs employés , mais on peut leur imposer de créer un quota d’emplois dans le pays où ils vendent leurs marchandises. Autre moyen possible, la relocalisation obligatoire pour lequel la Suisse est un très bon exemple.
Extrait :
“pour obtenir le label «Swiss Made», ces entreprises doivent réaliser en Suisse au moins 80% des coûts de fabrication pour les montres mécaniques.”
source http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/02/11/04016-20110211ARTFIG00713-suisse-l-horlogerie-de-luxe-resiste-grace-a-l-asie.php

 

 

Il est dramatique de voir  des pans entiers de l’industrie française sombrer .
Ce sont des catastrophes humaines tout autant qu’économiques.
Je ne parierai que ces “écroulements ” n’est pas été le fait d’échanges commerciaux à très hauts niveaux : pour exemple le scénario ” achète mes armes , mon nucléaire, mon tgv et je te laisse me dévorer ma sidérurgie” ne me parait pas impossible . A noter que toutes les industries françaises ne se sont pas écroulées. Il est donc possible que le malheur des uns est fait parfois le bonheur des autres.

 

 

Note d'espoir :

la ré-industrialisation faisant partie d'un tout , l'Argentine demeure 

un exemple fort intéressant .

EXTRAIT “La première chose qu’on a faite nous, c’est de rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du capitalisme! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment plus, ce qui obère une relance par la croissance.”
source :
http://www.liberation.fr/economie/01012390907-nous-avons-sauve-les-gens-plutot-que-les-banques?google_editors_picks=true

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Ce que nous sommes ?

19 Février 2012, 14:45pm

Publié par béber

Nous ne sommes rien , ou si peu.


N'empêches ... les événements qui vont conduire tant parmi nous à rejoindre la France des faibles riquent fort de changer la donne actuelle.

On a tous le choix d'un début ou d'une fin , de l'espoir ou du renoncement.

 

 

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