Turbolibéralisme , ou " quand le libėralisme prend sa vitesse de croisière "
Le libéralisme , culture économique dominante , propose des " chocs" , des baisses de coûts ... Sans jamais mettre en évidence le circuit de l'argent ( dans sa globalité ) . Et pour cause , celà mettrait en évidence la machine à concentrer les richesses.
Stigmatisant telle ou telle catégorie sociale , le problème est volontairement mal posé . Prendre aux "à peine riches" , au pauvres , pour donner aux trés riches ne solutionnera rien.
La trappe à dette s'est refermée grâce à l'acceptation complice
des nations ." Tu as du mal à rembourser ta dette? Nous allons l'augmenter car tu représentes un risque . "
Quand à la France , notre beau pays s'enfonce .Et c'est pas fini .Nos gouvernants pensent pouvoir gérer l'avenir parce qu'ils ne l'envisagent pas sous l'aspect de catastrophe. Les énarques ont une telle confiance en leur formation qu'ils pensent que leur volant du monde est performant :schémas, statistiques, chiffres en tout genre.
" À l’autre extrême il y a la Grèce, qui est en plein désastre de santé publique. Le budget national de la santé a été réduit de 40% depuis 2008. Quelque 35 000 médecins, infirmières, et autres agents de la santé ont perdu leur travail. Les admissions aux hôpitaux ont fait un bond car les Grecs n’obtiennent plus de traitement courant et préventif. La mortalité infantile a augmenté de 40 %. Les nouvelles infections au H.I.V. ont plus que doublé, avec l’augmentation de la consommation de drogue en intraveineuse – et la suppression du budget pour des programmes de remplacement des aiguilles. Suite à la réduction des programmes de pulvérisation des moustiques en Grèce du sud, un nombre significatif de cas de malaria a été enregistré pour la première fois depuis le début des années 70. Le virus du Nil a lui aussi fait sa réapparition.’autre extrême il y a la Grèce, qui est en plein désastre de santé publique. Le budget national de la santé a été réduit de 40% depuis 2008. Quelque 35 000 médecins, infirmières, et autres agents de la santé ont perdu leur travail. Les admissions aux hôpitaux ont fait un bond car les Grecs n’obtiennent plus de traitement courant et préventif. La mortalité infantile a augmenté de 40 %. Les nouvelles infections au H.I.V. ont plus que doublé, avec l’augmentation de la consommation de drogue en intraveineuse – et la suppression du budget pour des programmes de remplacement des aiguilles. Suite à la réduction des programmes de pulvérisation des moustiques en Grèce du sud, un nombre significatif de cas de malaria a été enregistré pour la première fois depuis le début des années 70. Le virus du Nil a lui aussi fait sa réapparition."
Sur
http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2013/12/09/l’austerite-tue-massivement-des-preuves-chiffrees/#more-622