Politique, humour , les humains, le temps qui passe, la vie koa.. , tout ça pour dire que c'est LA volonté qui crée l'état d'esprit , et que l'état d'esprit génère le type de pensées.Chaque jour suffit sa peine .Croire en la Providence.
On aurait pu se demander comment doubler les effectifs des PME , on s'est demandé
comment ne pas contrarier les grands patrons du cac 40 ....
On aurait pu se demander comment aider la Chine à ne pas devenir le plus grand pollueur de la planète , on s'est
demandé comment leur vendre du nucléaire ...
On aurait pu décider de publier les vrais chiffres du chômage et de l'exclusion , on s'est demandé comment rendre les mauvais
chiffres plus sympathiques ...
On aurait pu faire autre chose que de la langue de bois .
Soit L'objectif débile des 3% ou comment faire un carré avec trois allumettes ?
Lequel de ces élément sera rompus ?
-les nouveaux patrons pour déni écologique , pour volonté de satisfaire leurs seuls intérêts ?
- l'union européenne qui crée les conditions de la misère en acceptant l'augmentation des taux intérêts dans les pays
en diffciultés , pour demander l'impossible au risque de l'insurrection ?
- la république démocratique pour son laisser faire vis à vis des grands lobbies, pour son inéfficacité face à la montée du
chômage?
Mais heu....Existe t'il d'autres véhicules pour la pensée que les mots ?
La musique : sûrement . Et la vie trés certainement .
« Le mot
Ce mot était inconnu
Inconnu de ceux qui déjà
s’étaient gonflés d’encre
puis répandus sur tous les parchemins.
Sa sonorité semblait celle d’un essaim d’e muets.
Il n’avait jusqu’alors été fil d’aucun discours,
d’aucune pensée,
et son inexistence n’avait jusqu’à présent
effiloché aucun texte.
Était-il nom ?
Ou verbe ?
Ou n’avait-il pas encore choisi ?
Entre nom suspendu dans le vide sémantique
et verbe encore à l’infinitif.
Sourd à toute apostrophe,
rebelle à toute ponctuation,
insoumis au grand ordre alphabétique,
allergique aux marches forcées des alexandrins,
inapte même à s’enrôler dans la moindre phrase
(même la plus licencieuse quant à la grammaire)
il restait là,
souriant au milieu d’un silence gêné,
quêtant le sens de sa vie. »
Tandis qu'un économiste rappelle les fondamentaux , son auditoire socialiste discute , inconscient de l'importance de
ce qui est dit (voir vidéo ci -jointe) .
Début 2014 , Larrouturrou prévoit 1 500 000 chômeurs de plus , si la tendance actuelle n'est pas inversée .
Ce qu'il ne dit pas , c'est que l'austérité programmée va accélérer la tendance actuelle .
Dans son discour final , le nouveau chef du PS a t'il perçues les priorités?
Le montant exorbitant de l’amende infligé à Jérôme Kerviel démontre l’absence de
« réalisme » de ce jugement .
Une « justice » donc , avec une forme de logique délirante qui permettrait , par exemple, au peuple français de
réclamer à chacun de ses présidents, le montant de la hausse de la dette nationale pendant leur quinquennat , et ce pour mauvaise gestion ….
Les mots « gauche » et « justice » sont donc désormais à écrire avec des guillemets .
Comment créer des emplois dans un monde de compétition , où le coût de l'emploi devient pour finir un frein à l'emploi
?
En recherchant les gisements d'emplois non encore exploités , c'est à dire qui n'ont pas
encore subis de cure d'amaigrissement .
La folle poursuite de la compétitivité à tout prix
détruit le travail des hommes .Et à moins de supprimer la compétitivité, la seule solution pour
l'augmentation du nombre d' emplois devient les inventions nouvelles en matière de communication , d'énergie , de produits, ou de besoins.
Tout problème dont la cause n'est pas identifiée correctement se reproduit inlassablement .
ya pas de problèmes, pas de loyers trop chers par rapport aux salaires , ya pas d'entreprises multinationales
favorisées fiscalement , ya pâs de gisements d'emplois inexploités dans les petites et moyennes entreprises , ya pas de problèmes mathématiques à comparer des dépenses publiques au pib d'une
nation , ya pas de problème à créer de l'austérité engendreuse de récession , ya pas de problème à ne pas tenir ses promesses électorales , ya pas de problèmes à se dire de gauche et faire une
politique de droite .
Ya pas de problèmes parce qu' y a les impôts , et parce qu'ya un chef d'état et des ministres . Ceux là sont payés pour
décider de ce que doit être l'ordre , et d'autres sont payés pour le maintenir .
Ya pas de problèmes , juste une falaise de dettes .
Bellle attitude « socialiste » que de s’interroger d’abord sur le coût du travail , avant de s’interroger sur le
coût de l’absence de travail .
Au fond , qui dit « compétition » dit gagnants et perdants, c’est â dire … du travail pour les uns et absence de
travail pour les autres . Saloperie de vigneron ( type travaillant la vigne ) qui , bradant son bordeaux , livre son collègue à la misère . Lui qui
faisait un si bon vin , au nom si prometteur : le sang du peuple .
Les politiques qui placent la marge au centre de leur préoccupations , au lieu de se focaliser
sur le travail des hommes , nous préparent un avenir … guerrier .
La confiance est une chose qui se mérite . Elire un président de gauche pour voir s'appliquer une politique de droite ,
c'est unir dans une même déception ceux qui
ont voter pour et contre Hollande .
C'est SURTOUT croire que des résultats viendront gommer ce coup de canife au
contrat .
"Nos prévisions montrent que le nombre de demandeurs d'emploi va encore augmenter d'ici fin 2013. A la fin de l'année, on estime qu'il y aura 3.084.000 de chômeurs, et 3,2 millions fin 2013. Pour
établir ces prévisions, nous avons retenu un taux de croissance de 0,1% pour 2012 et 0,4% pour 2013 (contre 0,3% pour 2012 et 0,8% pour 2013 estimé par le gouvernement). Des prévisions établies par un consensus
économique assez juste, il y en aura."
PS : quand aux 120 milliards pour la croissance , il faudra éclaircir un mystère :
"Dans sa déclaration, M. Ayrault devrait rappeler les apports du pacte de croissance, que François Hollande se félicite d'avoir ajouté au traité: 120 milliards d'euros d'investissements,
projets de taxe sur les transactions financières et de supervision européenne des banques.
Ce paquet croissance de 120 milliards d'euros, "il n'existe pas", tranche le président du groupe centriste à l'Assemblée (UDI), Jean-Louis Borloo. "Ce sont
des choux et des carottes", mais "il n'y a ni les choux, ni les carottes". M. Ayrault a lui-même admis jeudi sur France 2 que le texte du traité était demeuré inchangé."