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Nouveau général, nouvelles menaces.
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Tytelman fait un topo sur le champ de bataille ukrainien , l’encerclement prévisible de troupes d’élites russes en étant l’élément marquant .
Sauf que dans le même temps , le commandement russe à changé et , du coup la tactique aussi :
-objectif de destruction des ressources électriques ukrainienne
- utilisation de drônes iraniens
-amplification de la terreur avec destruction et déplacement de la population civile
- manœuvres en Biélorussie , espionnage en Norvège , avec objectif probable de tarir l’approvisionnement de matériels militaires occidental ( gros passage par la Pologne ).
- menace sur la ville de Kherson ( barrage qui en explosant pourrait avoir des conséquences terribles ).
Certes les munitions semblent devoir manquer du côté russe , certes le recours à la mobilisation russe ne donnera rien de rapide et d’efficace à court et moyen terme.
Mais à quel point le soutien étranger ( iranien en l’occurence ) peut il changer la donne ?
Prière pour que les forces ukrainiennes prennent le dessus définitivement et que la population russe se révolte enfin .
Prière pour que la déstabilisation politique menée par la Russie depuis des années ne donne rien ( montée des extrêmes en Europe ,montée de politiques américains peu enclins à aider le peuple ukrainien et l’Europe).
Prière pour que les peuples en guerre retrouvent la paix.
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La Russie prépare la «forteresse» de Kherson face à l'avancée ukrainienne
Les séparatistes prorusses ont déclaré vendredi être en train de faire une «forteresse» de la ville de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, dont la Russie évacue les habitants face à l'avancée des forces de Kiev. Après avoir beaucoup reculé dans le nord-est de l'Ukraine ces dernières semaines, les forces de Moscou sont sous pression dans le sud autour de Kherson, première ville d'importance tombée dans leurs mains en mars, peu après le début de leur offensive.
Dans cette zone, les forces russes «ont miné le barrage et les unités de la centrale hydroélectrique de Kakhovka», une des plus grandes infrastructures du genre en Ukraine, a dénoncé jeudi le président ukrainien Volodymyr Zelensky. «La Russie prépare consciemment le terrain pour une catastrophe de grande ampleur», car «si le barrage explose, plus de 80 localités, dont Kherson, se retrouveront dans la zone d'inondation rapide». «Cela pourrait détruire l'approvisionnement en eau d'une grande partie du sud de l'Ukraine», et affecter le refroidissement des réacteurs de la centrale nucléaire - déjà en péril, car cible récurrente de bombardements - de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, qui puise son eau dans ce lac artificiel de 18 millions de mètres cubes, a ajouté Volodymyr Zelensky.
Le général Sergueï Sourovikine, récemment nommé chef des opérations russes en Ukraine, avait reconnu mardi que la situation y était «tendue» pour son armée et averti qu'il ne craindrait pas de prendre une «décision très difficile».
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