Qui n'a pas remarqué le côté perroquet de nos hommes politiques , abreuvés de ce qui s'appelle "les éléments de langage"?

Le vocabulaire politique a ses modes.

Désormais, un nouveau mot frise l'idôlatrie, st graal des temps modernes : le mot "compétitivité".

Sauf qu'au nom de ce faux dieu , l'imbécilité devient suicidaire. Au nom de la compétitivité, la gauche au pouvoir , infiltrée par la pensée libérale, ne peut que robotiser et justifier la baisse des salaires et du pouvoir d'achat de la plupart . Cette gauche dont les dirigeants au pouvoir cumulent les retraites tandis qu'explose la dette et le nombre de pauvres.

Les entreprises qui vont mal ne sont pas aidées et que celles qui vont bien profitent sans vergogne de baisse de « charges » , voir de » pacte de compétitivité « .

La gauche libérale croit pouvoir prospèrer sur les ruines d'entreprises telles que Lejaby.

Faire l'amer constat de l'incroyable trahison commise à l'égard de ceux qui croyaient qu'elle serait capable de créer de l'emploi ,

c'est supposer que les prochaines élections seront l'occasion d'une mise au point .

L'actualité récente nous apprend que notre président copine avec un milliardaire.

On comprend mieux pourquoi les intérêts des puissants sont mieux défendus que ceux des électeurs .