Critique de la déraison
Dans l’interprétation des faits , le contexte et l’intention sont deux données fondamentales.
Comprendre l’un et l’autre passe par la découverte des biais cognitifs ( psychologie).
J’estime , vu l’échec patent de la psychanalyse dans l’aide aux autistes , que cette « discipline » enferme l’intention dans une sorte de formatage : tout tournerait autour de la sexualité( voir vidéo article précédent sur des psychanalystes s’exprimant au sujet d’autistes).
Ainsi , le biais de confirmation propose à l’imagination de quoi donner un semblant de cohérence à des propos qui ont le lustre de la connaissance , tout en étant des cas typiques de distorsion de la réalité .Plus la personne est imaginative et plus les explications sont alambiquées , laissant croire qu’elles ne sont accessibles qu’a un certain degré d’intelligence ( pour résumer , réservé aux « non cons « ou non initiés.
Si la psychanalyse devait se remettre en cause , elle devrait assumer ses échecs .Et par conséquent , examiner la réalité de ses « fruits », en cherchant à remettre en cause certaines « certitudes « addictives.
Exercice d’observation: examiner le regard et l’attitude de Freud ( voir photos dont celle du costards-cigare ) et rechercher la bienveillance .
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